A mon approche, ils s'enfuient. L'hiver est long ; subsister, trouver quelques brins secs à grignoter en attendant les jeunes pouces du printemps. Il faut survivre. Merveilleux détenteurs de la vie, tous acteurs d' une même aventure qui nous dépasse.
Oui et comme nous ils vont se mettre aux abris. Bon courage en ces temps épuisants pour vous.
RépondreSupprimerMeilleures salutations et pensées cordiales.